La production de poterie de l'époque gallo-romaine à l'époque contemporaine


Cécile Bébien, Fabrice Couvin, Philippe Husi

Carte 1

Bien que les découvertes d'ateliers restent rares, on remarque toutefois leur localisation à proximité des cours d'eau, favorisant la diffusion des produits. Aucun indice d'atelier n'est attesté pour la fin de l'Antiquité. Cette carte reflète donc plus l'état des connaissances que la répartition réelle des lieux de production.




Carte 2

Les découvertes d'ateliers sont rares et inégales suivant les périodes. Alors que quelques ateliers existent après l'An Mil, aucun indice susceptible de révéler un centre de production n'est attesté à ce jour pour le haut Moyen Age.

En embrassant toute la période envisagée dans le cadre de cette notice, les sources sont donc lacunaires entre le 4e et le 11e s. La diversité des poteries exhumées en contextes de consommation au Bas-Empire, comme au haut Moyen Âge, témoigne pourtant de l'importance de cet artisanat pour ces périodes. Plus généralement, la comparaison entre, d'une part, la richesse du mobilier provenant des contextes de consommation et, d'autre part, l'absence d'indice d'atelier révèle toute notre difficulté à identifier sur le terrain des petites structures de production souvent éphémères, n'ayant laissé que des traces ténues.




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