L’Atlas archéologique de Touraine, dont le champ chronologique s’étend de la Préhistoire à l’époque contemporaine, est constitué de 149 notices et 702 cartes et documents. L’ouvrage est divisé en quatre grandes parties :
Cette première partie est subdivisée en deux chapitres. Le premier, « Les milieux », regroupe une dizaine de notices portant sur les milieux actuels ou le paléoenvironnement. Le second chapitre, intitulé « Gouverner, administrer, organiser le territoire », comprend une douzaine de notices qui traitent de l’administration des divers territoires dont Tours a été le chef-lieu, de l’Antiquité à l’époque contemporaine.
La deuxième partie, qui présente les données sur lesquelles se fonde l'état des connaissances sur l’occupation du sol, est subdivisée en quatre chapitres : les cartes anciennes, les sources écrites, les données archéologiques, et les données bioarchéologiques (palynologie, carpologie, archéozoologie, anthropologie…). L’objectif n’est pas d’offrir un tableau exhaustif des sources mais de présenter certains des corpus disponibles et d'évaluer leur représentativité spatiale.
La troisième partie est subdivisée en six chapitres qui correspondent aux activités élémentaires par lesquelles toute société transforme le milieu dans lequel elle vit en un espace organisé :
A l’intérieur des chapitres, les notices, s’inscrivent, pour la plupart, dans le découpage historique traditionnel et dressent des « états des lieux » par grandes périodes chrono-culturelles, de la Préhistoire à l’époque contemporaine. Elles reflètent l’avancement inégal des connaissances, et on n’a pas cherché à équilibrer à tout prix les thèmes et les périodes.
La quatrième partie élargit la focale. Contrairement aux notices des trois premières parties, qui se placent pour la plupart à l’échelle régionale, elle regroupe des études monographiques conduites à l'échelle locale (fouilles, prospections, études de bâti), dans le cadre de l’archéologie préventive ou de l’archéologie programmée. Elles retracent, dans un même lieu, les interactions spatiales entre les fonctions localisées, et les processus de transformation qui en résultent.
Les notices de cette quatrième partie, accessibles par le sommaire, le sont également par l’intermédiaire des notices de synthèse qu’elles illustrent (à partir des liens hypertexte ou des points représentant les lieux sur les cartes).
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